11h / 14h : ASSEMBLEE POPULAIRE devant la MAIRIE – discussion autour de la question du « PASS SANITAIRE »
14h / 17h : Cabaret des Libertés #2 – scène ouverte et rassemblement, pour que vivent les arts et la culture.
Depuis
maintenant un an nous sommes en état d’urgence sanitaire quasi
permanent. Le projet de loi examiné à l’assemblée nationale le 10 mai
pour la sortie de
l’état d’urgence donne toujours la possibilité au gouvernement de
réglementer, restreindre ou interdire la circulation des personnes et
des véhicules, là où est « constatée une circulation active du virus ».
Il peut aussi prendre un décret pour réglementer
l’ouverture de certains établissements recevant du public ou en décider
la fermeture. Les rassemblements et activités sur la voie publique
peuvent aussi faire l’objet de restrictions.
Il introduit la base législative d’un pass sanitaire pour l’été.
L’article 8
prévoit une série d’habilitations à légiférer par ordonnances,
notamment en ce qui concerne l’activité partielle et l’activité réduite.
D’autres
mesures dans la sphère sociale vont être modifiées.
Nous restons donc dans
la logique d’une politique autoritaire qui prend
des décisions d’une manière opaque, avec un conseil de défense, composé
de personnes choisies par le président et qui sont soumises
au secret défense.
Nous
devons obéir à des injonctions contradictoires imposées d’en haut sans
aucune concertation, sans aucune délibération collective, soit disant
pour notre
bien, avec culpabilisation à l’appui. Dans cette logique, alors même
que le gouvernement continue de supprimer des lits et des postes dans
les hôpitaux, toute voix qui s’oppose à la politique sanitaire est
considérée comme suspecte.
Pendant ce temps des lois et décrets liberticides, anticonstitutionnels, sont en train de passer.
La crise sanitaire est un prétexte
pour contrôler et surveiller toujours plus
la population
en même temps que sont détruits tous les acquis sociaux.
Qui peut croire que des mesures sont là pour notre bien, quand la
réforme de l’assurance chômage va fragiliser un grand nombre d’entre
nous ?
Comment pouvons-nous nous emparer de la question cruciale de la politique sanitaire? Y réfléchir collectivement ? Résister
à cet autoritarisme qui, par la peur et
la culpabilisation, nous infantilise et nous attaque jusque dans nos corps ?
Qu’est-ce qu’implique la mise en place d’un pass sanitaire ? Allons-nous finir par l’accepter ? La stratégie vaccinale qu’on nous impose insidieusement à grand renfort de communication, de culpabilisation et de chantage est-elle réellement la seule possibilité ? Pourquoi tant d’opacité sur les contrats avec les laboratoires ? Chacun ne pourrait-il pas être acteur de la politique sanitaire, en toute conscience, si les mensonges d’état cessaient ?
« Quand
tout le monde vous ment en permanence, le résultat ce n’est pas que
vous croyez ces mensonges, mais que plus personne ne croit plus rien.
(…) Un
peuple qui ne peut plus rien croire ne peut se faire une opinion. Il
est privé non seulement de sa capacité d’agir mais aussi de sa capacité
de juger. Et avec un tel peuple vous pouvez faire ce que vous voulez »
Anna Arendt
« La pandémie suggère l’idée qu’un peu comme dans notre imaginaire la
peste, nous serions tous soumis à un danger de mort imminent, et donc
en parlant de pandémie on a sidéré les esprits, on est passé dans un
régime d’exception et on s’est mis à accepter
des choses parfaitement inacceptables »
Barbara Stiegler
Samedi 8 mai et TOUS LES SAMEDIS – devant la mairie de Guéret – dès 11h : Rassemblement contre la loi « sécurité globale » et pour défendre nos droits et libertés. Assemblée populaire et Scène ouverte. La lutte continue !
Le déconfinement progressif ne change rien à notre mobilisation et à nos revendications.
Nos droits et libertés sont toujours menacés par la politique autoritaire et liberticide du gouvernement.
La loi sécurité globale a été adoptée en avril par
le Parlement, mais une saisine du Conseil Constitutionnel est en cours
pour faire invalider cette loi nous jugeons anti-constitutionnelle, et
donc annuler sa promulgation (qui n’a pas encore eu lieu).
Le projet de loi « confortant les principes républicains » est toujours là.
Les décrets de « sécurité publique » passés en décembre sont toujours là.
La réforme de l’assurance chômage est toujours prévue pour juillet.
Les services publics sont toujours menacés, et notamment le secteur de
la santé, qui continue de subir des coupes budgétaires depuis cette
dernière année, malgré l’épidémie.
Nous sommes loin d’être
sortis de l’état d’urgence. Le déconfinement n’est que partiel et nous
vivons toujours sous couvre-feu.
Nous vivrons bientôt, à partir
du 9 juin avec un pass sanitaire, ou vaccinal, ou coronapass, ou
qu’importe le nom qu’il lui sera donné, ce « pass » va diviser la
population en deux catégories qui n’auront pas les mêmes droits selon
que nous serons vacciné(e)s, testé(e)s, ou pas.
« Certains »
lieux culturels vont réouvrir, avec des jauges limitée (très limitée :
35{86109fcefb9d5fbf2092dbb1701a32b0efbb9d053e27c85c00bc43ee4b9e74d0} alors que les professionnels s’accordent à dire qu’il fait remplir
une salle à 80{86109fcefb9d5fbf2092dbb1701a32b0efbb9d053e27c85c00bc43ee4b9e74d0} pour que ce soit « rentable »), et le pass sanitaire
sera obligatoire pour y accéder…
Allons-nous, devons-nous, accepter tout cela, la
surveillance, la suspicion, la culpabilisation permanente et
généralisée ? Ces questions méritent d’être débattues publiquement.
Rassemblement déclaré en préfecture de 11h à 14h.
Port du masque et respect des gestes barrières obligatoires.
Dans un souci de clarifier la communication le collectif Stop Loi Sécurité Globale Creuse s’est doté de sa propre page facebook, si vous utilisez ce média et souhaitez suivre nos « actualités » : https://www.facebook.com/Stop-Loi-Sécurité-Globale-Creuse-slsg23.
Cela n’est pas une scission de nos actions ou revendications.
L’art, la culture et la lutte ne sont pas incompatibles, bien au
contraire. Depuis le début de la mobilisation du collectif, nos
revendications dépassent la seule question de la loi « sécurité
globale » qui n’est malheureusement qu’une toute petite pierre dans un
plus vaste édifice totalitaire et autoritaire en construction, et la
confiscation de l’art et de la culture constitue une atteinte grave à
nos droits et nos libertés, au même titre que le passage en force des
lois, décrets, reformes, autoritaires et liberticides que nous devons
affronter. C’est pour cela que les rassemblements hebdomadaires devant
la mairie de Guéret mêlent, et continueront de mêler, prises de paroles
et interventions militantes, politiques et artistique au travers d’une assemblée populaire, suivie d’une modeste scène ouverte à qui souhaite s’exprimer (enceinte sur batterie + 3 entrées mic / instru).
Ce samedi 1er mais, nous avons inauguré notre première « vraie » scène ouverte (comprenez avec un vrai matériel de sonorisation ^^), le premier Cabaret des Libertés, pour la liberté d’accès à l’art et la culture, devant la médiathèque de Guéret.
Nous tenons à remercier toutes celles et tous ceux qui étaient
présent(e)s, et notamment les copains de Ripe la Lune qui nous ont prêté
leur matériel, sans eux pas de son pour ce premier cabaret ! Nous avons
eu le plaisir d’accueillir des musiciens, musiciennes, chanteurs,
chanteuses, auteur(e)s, comédiens, comédiennes… autant de prestations
variées témoignant de la richesse artistique, créative et culturelle de
la Creuse. Bravo et merci à toutes et tous ! Sachez que nous comptons
bien remettre ça très prochainement, infos à venir sur : https://carnavaldeslibertes.wordpress.com/cabaret-des-libertes/.
Confrontons nos points de vue, échangeons, discutons, c’est ensemble que nous construirons la lutte.
Paroles militantes, paroles citoyennes, paroles
artistiques… toute intervention est la bienvenue, alors amène tes
idées, tes textes, tes instruments… et de quoi becqueter et se
désaltérer. (nous rappelons que la consommation d’alcool est interdite sur la voie publique)
Face à la Loi Sécurité Globale et à la politique autoritaire et liberticide du gouvernement : RÉSISTANCE GLOBALE !
RENDEZ-VOUS ce SAMEDI 24 AVRIL à 11h devant la mairie de Guéret : ASSEMBLÉE POPULAIRE & SCÈNE OUVERTE artistique. Parole militante, parole artistique, parole citoyenne… toute intervention est la bienvenue.Amène tes textes, tes idées, tes instruments, tes compétences, ton écoute… du café, une tarte, un cake… à partager.
[préparation FLASH MOB en Creuse] Ce samedi nous répéterons « Danser encore » d’HK et les Saltimbanques dans le but de l’interpréter ensemble samedi prochain 1er mai, VENEZ CHANTER AVEC NOUS ! Ci-joint les paroles de la chanson, et pour répéter avant la répète générale : https://www.youtube.com/watch?v=SyBEMRyt6Qg
Ci-joint également, notre « Appel » à nous unir contre cette politique de plus en plus autoritaire, dont, malheureusement, la loi « Sécurité Globale » n’est qu’une étape. A diffuser autour de vous autant que vous pouvez, si vous le souhaitez. _____________________________________________
Contre la politique autoritaire et liberticide du gouvernement, pour défendre nos droits et libertés fondamentales : UNISSONS-NOUS !
__________________________________________
Nous maintenons, et nous maintiendrons tant que ce sera nécessaire, nos rendez-vous hebdomadaires TOUS LES SAMEDIS à 11h DEVANT LA MAIRIE DE GUÉRET, contre la loi « Sécurité Globale », contre la politique autoritaire et liberticide du gouvernement, pour défendre nos droits et libertés fondamentales, dans le respect d’autrui et le respect des mesures sanitaires en vigueur (port du masque, distanciation sociale…).
Rassemblements déclarés en préfecture de 11h à 14h. Nous rappelons que les manifestations et rassemblement déclarés en préfecture NE SONT PAS INTERDITS PAR L’ÉTAT D’URGENCE SANITAIRE NI PAR LE CONFINEMENT. Pensez à vous munir d’une attestation de déplacement dérogatoire et d’un masque. Modèle d’attestation ci-dessous. Nous rappelons que le port du masque et le respect des gestes sont obligatoires.
Le collectif Stop Loi Sécurité Globale Creuse (Stop
Mines 23, Attac 23, Creuse Citron, Le Trou des Combrailles, Sud
Éducation Limousin, NPA 23, Le Théâtre D’Or, Union Communiste
Libertaire,
Questions Masques Enfants 23, Zone Libre).
« Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : C’est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l’expulser. » – Françoise Giroud
Projets
de loi « Sécurité Globale », « Confortant les
principes de la République », décrets de « Sécurité
publique », réforme de l’assurance chômage, démantèlement
des services publics, instrumentalisation de l’état d’urgence
sanitaire…
Appel
aux syndicats, organisations politiques et associatives, citoyens et
citoyennes à nous unir contre une politique de plus en plus
autoritaire et liberticide :
Le
projet de loi de « sécurité globale », comme celui
« confortant les principes de la République », la
réforme de l’assurance chômage dont le deuxième volet prévu pour
juillet prochain amputera d’1/4 à 1/3 les revenus des demandeurs et
demandeuses d’emplois qui auront dû par ailleurs travailler plus en
moins de temps pour être indemnisé(e)s, le démantèlement des
services publiques, la publication en décembre dernier de trois
décrets dits de « sécurité publique » élargissant
considérablement les possibilités de fichage de la population, et
notamment des militants et militantes, qui peuvent dès aujourd’hui
être fiché(e)s non plus seulement selon leurs actes, mais aussi
selon leurs opinions, politiques, religieuses ou philosophiques,
enfin, l’état d’urgence sanitaire, qui justifie depuis plus d’un an
maintenant, les prises de décisions autoritaires et absurdes d’un
gouvernement dont il ne fait plus aucun doute qu’il ne sert pas les
intérêts du plus grand nombre, et qu’il ne protège pas sa
population, et certainement pas les plus précaires d’entre nous
(étudiants, intermittents du travail, demandeurs d’emploi,
sans-domiciles…) qui ne cessent de payer la crise économique et
sanitaire ; on peut parler de dérive totalitaire.
Personne
n’est et ne sera épargné. L’étau se resserre autour de chacun et
chacune d’entre nous, que nous soyons engagé(e)s politiquement, ou
associativement, ou pas.
Bientôt
tout l’espace public sera soumis à contrôle, des caméras et des
drones surveilleront nos moindres faits et gestes (projet de loi
« Sécurité globale »), chacun et chacune peut
d’ors-et-déjà être fiché(e) – et bientôt poursuivi(e) ? –
pour de simples opinions (décrets de « sécurité
publique »).
Bientôt
des associations pourront être dissoutes parce qu’elles ne
respectent pas « les principes républicains » (projet
de loi « confortant les principes de la République »),
principes soumis à interprétation, mais à l’interprétation de qui
?
Bientôt
toute personne, toute organisation ou « groupement »,
critiquant ou refusant la politique du gouvernement pourra être
accusé de représenter un « danger pour la sûreté de
l’état » ou pour les « intérêts fondamentaux de la
Nation » (décrets de « sécurité publique »).
Déjà
nous voyons des hommes et des femmes accusé(e)s de « mise en
danger de le vie d’autrui » parce qu’ils ou elles n’ont pas
respecté à la lettre les règles sanitaires ubuesques en vigueur.
Derrière cette accusation il y a toute une
politique culpabilisante menée par le gouvernement : accuser chacun
et chacune d’être responsable de la propagation du virus afin de
mieux cacher la gestion calamiteuse et criminelle de cette crise.
Nous assistons depuis plus d’un an à la poursuite d’une politique
de suppression des postes et des lits dans les hôpitaux, aux mêmes
prises de décisions contradictoires, aux mêmes effets d’annonces
dramatiques, alimentant un sentiment de peur et d’insécurité
croissant et conduisant à la précarisation matérielle et
psychologique d’un grand nombre d’entre nous ; précarisation qui
conduit certains et certaines au suicide.
Si
un mouvement d’ampleur ne se met pas en place nous serons bientôt
soumis et soumises à un pouvoir fou qui aura de son côté, pour
légitimer sa politique autoritaire et liberticides, les lois et
décrets qui sont en train de passer aujourd’hui au mépris de toute
démocratie.
Rappelons
que dès le début de son mandat le président Macron se plaisait à
gouverner par ordonnance, et que depuis la déclaration de l’état
d’urgence sanitaire la loi d’état d’urgence sanitaire permet au
gouvernement de multiplier les décrets – un décret n’est pas
voté, et il s’applique dès que publié. Récemment, 220
parlementaires ont refusé de voter sur les modalités du 3e
confinement, refusant de servir de caution démocratique à « une
décision déjà prise », ils dénoncent une « parodie de
démocratie ». Les masques tombent. Le Parlement ne serait-il
devenu qu’une simple formalité par laquelle il ne sera bientôt même
plus la peine de passer ?
Nous avons toutes et tous intérêt à nous unir et faire front commun pour défendre nos droits et libertés, et ce, quelles que soient nos façons de lutter. C’est pourquoi nous vous appelons à rejoindre les assemblées publiques que nous avons ouvertes tous les samedis à 11h devant la mairie de Guéret.
Ensemble
nous pouvons espérer construire une force de résistance. Si nous
restons isolés et chacun dans son pré carré nous risquons
d’assister impuissants et impuissantes à la fin de l’état de droit
et à une répression de plus en plus forte et violente.
L’heure
n’est plus aux calculs des intérêts propres à chaque organisation
ou à chaque personnes, mais à la défense collective de l’intérêt
général.
Construisons
ensemble. La force viendra de la mise en commun de nos pratiques
respectives : militantes, politiques, syndicales, artistiques,
libertaires, citoyennes et autres.
Nous
attirons tout particulièrement votre attention sur le fait que les
députés et sénateurs se sont mis d’accord fin mars sur le texte
final du projet de loi « Sécurité Globale » et que
cette loi vient d’être adoptée définitivement par le Parlement au
mépris des mobilisations qui dénoncent depuis des mois ses
dispositions liberticides.
L’article
24 si controversé n’a pas été retiré. Deux nouveaux délits
de « provocation à l’identification d’un agent ou de sa
famille » et de « compiler dans un fichier privé des
données sur des agents des forces de l’ordre », punis
respectivement de 5 ans d’emprisonnement et plusieurs milliers
d’euros d’amendes, ont même été créés !
L’article
1er criminalise l’occupation sans titre de locaux vacants. Il
criminalise et précarises ainsi encore d’avantage les sans-domiciles
et bafouent le droit au logement, et permet par la même occasion de
réprimer tout mouvement d’occupation en criminalisant l’occupation
de leur lieu de travail par les salariés, des facs par les
étudiants, des écoles par les parents et les enseignants, ou des
théâtres par les intermittents, du spectacle et du travail…
C’est
une lourde atteinte à la liberté de manifester et au droit de grève
qui s’inscrit aujourd’hui dans la loi.
Le
projet de loi a beau avoir été adopté, la lutte n’est pas
terminée. Nous refusons cette société de surveillance généralisée
et restons mobilisé(e)s. Nous nous associons à la saisine citoyenne
du Conseil Constitutionnel qui est en préparation et qui sera
déposée le 22 avril.
Les élus d’opposition ont par ailleurs d’ors-et-déjà annoncé leur intention de saisir également le Conseil Constitutionnel, de même que le Syndicat des Magistrats, que le Syndicat des avocats de France, la Quadrature du Net et le Syndicat des Journalistes
Nous sommes toutes et tous concerné(e)s, citoyens, citoyennes, militants et militantes ou non, syndicalistes, membres d’associations, parents, professeurs, étudiants, travailleurs, travailleuses ou demandeurs et demandeuses d’emplois… Unissons-nous !
Il n’y a que dans l’union et la convergence que la victoire est possible.
« Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : C’est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l’expulser. » – Françoise Giroud
Le
collectif Stop Loi Sécurité Globale Creuse (Stop Mines 23, Attac
23, Creuse Citron, Le Trou des Combrailles, Sud Éducation Limousin,
NPA 23, Le Théâtre D’Or, Union Communiste Libertaire, Questions
Masques Enfants 23, Zone Libre).
Texte de l’appel à partager autour de vous sans modération :
Communiqué
Collectif Stop Loi Sécurité Globale Creuse – 15/04/2021
Aujourd’hui
le Parlement a définitivement adopté le projet de loi Sécurité
Globale à 75 voix contre 33, malgré des mois de contestation
populaire.
Citoyens
et citoyennes, associations et syndicats, dénoncent depuis novembre
les dispositions liberticides de ce projet de loi que le Parlement
vient d’entériner :
surveillance
généralisée de la population par la multiplication des caméras
de vidéos-surveillance et l’utilisation de drones ;
usage
de la reconnaissance faciale ;
élargissement
des pouvoirs de la police municipale qui pourra maintenant
verbaliser aussi bien que les policiers et gendarmes, et ce alors
que la Ligue des Droits de l’Homme, entre autres, dénonce dans une
lettre ouverte au Premier ministre le nombre important de
verbalisations abusives depuis le début de l’état d’urgence
sanitaire ;
élargissement
des missions des services de sécurité privés ;
possibilité
pour les forces de l’ordre de garder leur arme de service en dehors
du service dans les lieux recevant du public ;
interdiction
de filmer les forces de l’ordre en intervention, par ce fameux
article 24 si controversé qui n’a même pas été retiré…
Les
élus de gauche ont d’ors-et-déjà annoncé leur intention de saisir
le Conseil Constitutionnel.
Une
saisine citoyenne, à laquelle notre collectif s’associe, est
également en préparation.
Les
députés et sénateurs ont beau avoir rebaptisé le texte « projet
de loi pour une sécurité globale préservant les libertés »,
nous ne sommes pas dupes et restons mobilisé(e)s. Il ne suffit pas
d’adjoindre le mot « liberté » à un texte liberticide
pour le rendre acceptable.
NON à la Loi Sécurité Globale et autres mesures liberticides !
SAMEDI 17 AVRIL : CONFERENCE DE PRESSE à 11h30 devant la mairie de Guéret.
Nous poursuivrons comme chaque samedi par :
Assemblée populaire & Scène ouverte artistique autour d’un repas partagé
Amène
tes mots, tes instruments, tes idées, ton écoute, tes
applaudissements, ta présence…
Parole
militante, parole artistique, parole citoyenne… toute intervention
est la bienvenue.
C’est ensemble que nous construisons la lutte.
Nous
restons mobilisé(e)s non seulement contre la loi « Sécurité
Globale » mais aussi contre le projet de loi « confortant
les principes de la République », contre les 3 décrets de
« Sécurité public » publiés en décembre et effectifs
depuis et qui ont considérablement élargis les possibilités de
fichage de la population, contre la réforme de l’assurance chômage
qui attaque une fois de plus les plus précaires, contre le
démantèlement des services publics, et notamment ceux de la santé,
contre l’instrumentalisation de cette crise sanitaire et l’état
d’urgence sanitaire qui justifie depuis plus d’un an maintenant les
prises de décisions autoritaires et absurdes d’un gouvernement dont
il ne fait plus aucun doute qu’il ne sert pas les intérêts du plus
grand nombre, et qu’il ne protège pas sa population.
Unissons-nous
! Il n’y a que dans l’union et la convergence que la victoire est
possible.
Le
collectif Stop Loi Sécurité Globale Creuse (Stop
Mines 23, Attac 23, Creuse Citron, Le Trou des Combrailles, Sud
Éducation Limousin, NPA 23, Le Théâtre D’Or, Union Communiste
Libertaire, Questions Masques Enfants 23, Zone Libre).
Nous rappelons que le port du masque et le respect des gestes barrière est obligatoire.
Rassemblement déclaré en préfecture. Nous rappelons que les rassemblements et manifestations déclarés en préfecture NE SONT PAS INTERDITS par l’état d’urgence sanitaire ni par le confinement. NOUS POUVONS MANIFESTER même si nous habitons à plus de 10km du lieu de la manifestation. Se munir d’une attestation de déplacement dérogatoire indiquant « déplacement pour se rendre à un rassemblement déclaré en préfecture comme devant se dérouler de 11h à 14h devant la mairie de Guéret et rentrer à mon domicile » comme motif de déplacement dérogatoire.
Compte-rendu et communiqué du Collectif Stop Loi Sécurité Globale Creuse – 06 avril 2021
PRINTEMPS DES LIBERTÉS – On poursuit la mobilisation !
Ce
samedi 3 avril, comme chaque samedi depuis décembre, un groupe de
personnes inquiètes des mesures autoritaires et liberticides que
prend notre gouvernement s’est rassemblé devant la mairie de Guéret
pour manifester son opposition non seulement au projet de loi
« Sécurité Globale » qui cristallise de nombreuses
colères depuis des mois, mais aussi contre le tournant de plus en
plus autoritaire et liberticide que prend notre société depuis
cette dernière année.
Le
rassemblement s’est mué depuis plusieurs semaines en Assemblée
Populaire. Les prises de paroles s’enchaînent sur de nombreux sujets
de société. Le fil rouge en reste toujours la liberté, ou plutôt
le manque de liberté qui se fait de plus en plus (op)pressant pour
chacun et chacune d’entre nous.
Ce
samedi, particulièrement, l’annonce du 3e confinement, et plus
globalement l’État d’urgence sanitaire et le nombreuses restrictions
et interdictions qui en découlent, a occupé une grande partie du
débat.
NOUS
CONVENONS DE SUITE DE LA NECESSITE DE
MAINTENIR NOS RASSEMBLEMENTS HEBDOMADAIRES.
Nous
dénonçons la culpabilisation incessante de la population et
le fait que l’on nous impose confinements, couvre-feu,
gestes-barrières, port du masque obligatoire… alors que la casse
des services publics, et notamment
du service public de santé, se poursuit sans vergogne : fermeture de
services, de lits, d’hôpitaux, personnel soignant sous-payé, manque
de matériel…
Nous
dénonçons le fait que l’épidémie soit instrumentalisée et que
l’État d’urgence sanitaire et ses mesures restrictives d’exceptions
soient des armes utilisées par un état de plus en plus autoritaire
pour museler le peuple et tenter d’empêcher l’émergence d’un
véritable mouvement de contestation social tandis que se poursuit la
destruction de nos droits sociaux et de nos libertés fondamentales.
RECLAMONS DE RÉELS MOYENS HUMAINS, MATÉRIELS ET FINANCIERS POUR LA SANTÉ ET LA SORTIE IMMÉDIATE DE L’ÉTAT D’URGENCE SANITAIRE ! ET LUTTONS ENSEMBLE POUR NOS DROITS ET LIBERTÉS.
RENDEZ-VOUS TOUS LES SAMEDIS MATINS dès 11H DEVANT LA MAIRIE DE GUÉRET pour une ASSEMBLÉE POPULAIRE ET UNE SCÈNE OUVERTE – prises de paroles politiques et artistiques
Nous croyons en l’urgence de nous réapproprier l’espace public comme l’espace politique. Parole militante, parole artistique, parole citoyenne… toute intervention est la bienvenue.
Nous
rappelons que même en état d’urgence, même confinés, même si
nous habitons à plus de 10km du lieu de la manifestation, NOUS
POUVONS MANIFESTER ! Les rassemblements et manifestations
déclarés en préfecture ne sont pas interdits par la loi d’état
d’urgence sanitaire. Depuis ce samedi 3 avril 19h, il faut de
nouveau se munir d’une attestation de déplacement dérogatoire,
ou de tout document prouvant la participation à un rassemblement
ou une manifestation déclaré(e) en préfecture. Nous travaillons
à mettre des attestations à disposition, en attendant, sachez
que tout document, même rédigé sur papier libre (mais à
l’encre indélébile) indiquant ou prouvant votre participation à
un rassemblement ou une manifestation déclaré(e) en préfecture
est valable. (question tranchée par le Conseil d’État : la loi
ne requiert que la production « document » en cas de
contrôle, sans qu’il soit stipulé qu’il doive être
« officiel »).
« Nos
ennemis peuvent couper toutes les fleurs, ils ne seront jamais les
maîtres du printemps » – Pablo Neruda.
Le
collectif Stop Loi Sécurité Globale Creuse (Stop Mines 23, Creuse
Citron, Le Trou des Combrailles, NPA 23, Sud Éducation Limousin, Le
Théâtre d’Or, Attac 23, Questions Masques Enfants 23, Union
Communiste Libertaire, Zone Libre) – des personnes inquiètes pour
notre avenir.
Samedi 10 avril, après le rassemblement de Guéret, nous appelons à rejoindre la Marche des Oubliés à Montluçon : Des gilets jaunes marchent de Montpellier à Paris et seront ce samedi à Montluçon où une manifestation est organisée pour les soutenir et les rencontrer. https://syndicatgj.fr/2021/03/03/gilets-jaunes-la-grande-marche-des-oublies/
Tous les samedis depuis décembre, des personnes inquiètes du tournant liberticide que prend notre société se réunissent à Guéret. L’initiative est née de notre opposition au projet de loi « Sécurité Globale » et naturellement un collectif s’est créé autour de cette question ; mais dès le départ, nos rassemblements, et nos revendications ont dépassé cette seule problématique.
D’autres projets de lois, d’autres décrets, et l’état d’urgence sanitaire – régime d’exception sous lequel nous vivons depuis plus d’un an – avec sa cohorte d’interdits et de restrictions ont été sujets de mobilisation et des discussions. La fermeture des lieux culturels et la destruction du lien social que cela entraîne est une atteinte grave à nos libertés. Mais qu’à cela ne tienne, si la scène nous est interdite, la rue et l’espace public seront nos tribunes !
Parole militante, parole artistique, parole citoyenne… toute intervention est la bienvenue.
RDV à 11h pour une Agora, une assemblée populaire, pour faire le point sur la situation politique et échanger nos idées, nos inquiétudes, dessiner des projets…
Et à 12h30 : cabAReT ! Scène ouverte poétique, musicale, théâtrale, clownesque… à chacun et chacune de faire vivre cet espace et ce moment avec sa sensibilité.
[IMPORTANT] Alors que le président vient d’annoncer le 3e confinement à partir de ce samedi, il est de plus en plus évident qu’il est urgent de nous mobiliser pour défendre nos libertés. NOUS MAINTENONS CE RASSEMBLEMENT HEBDOMADAIRE et nous rappelons que NOUS POUVONS MANIFESTER, même en état d’urgence, même confiné(e)s. En effet les rassemblements ou manifestations à caractère revendicatif déclaré(e)s en préfecture NE SONT PAS INTERDITS par l’état d’urgence sanitaire. CHACUN ET CHACUNE SERA DONC LIBRE DE S’Y RENDRE MÊME S’IL OU ELLE HABITE A PLUS DE 10KM DU LIEU DE LA MANIFESTATION OU DU RASSEMBLEMENT. Il faudra par contre se munir, pour les prochains rendez-vous, d’une attestation de déplacement dérogatoire. Nous travaillons à en mettre à disposition, en attendant, UNE ATTESTATION RÉDIGÉE SUR PAPIER LIBRE A L’ENCRE INDELEBILE INDIQUANT LA PARTICIPATION A UN RASSEMBLEMENT OU UNE MANIFESTATION A CARACTÈRE REVENDICATIF COMME MOTIF DE DEPLACEMENT EST VALABLE. Vous pourrez vous munir d’une copie du fly de l’événement pour plus de sûreté.
Plus d’un an a passé depuis le 1er confinement, la situation sanitaire, politique, sociale, économique, ne s’est pas arrangée bien au contraire. Combien de temps allons-nous encore attendre ?
Rassemblons-nous. Mobilisons-nous. Résistants, résistantes, citoyens, citoyennes dont les droits et libertés sont bafoué(e)s depuis trop longtemps, gilets jaunes, anarchistes, syndicats, militants et militantes associatifs, ou politiques…
Unissons-nous pour reprendre notre liberté, notre libre arbitre. Exigeons des moyens pour la santé, les hôpitaux, les soignants et soignantes et LA FIN DE L’ÉTAT D’URGENCE !
rassemblement hebdomadaire pour la défense des libertés déclaré en préfecture et organisé par le Collectif Stop Loi Sécurité Globale Creuse (Stop Mines 23, Attac 23, NPA 23, Le Trou des Combrailles, Creuse-Citron, Questions Masques Enfants 23, Sud Éducation 23, Union Communiste Libertaire, le Théâtre d’Or, Zone Libre) – rejoignez-nous.
Contre le projet de loi Sécurité Globale et autres mesures liberticides : faisons entendre nos voix !
Le collectif Stop Sécurité Globale Creuse composé pour le moment de l’association Stop Mines 23, du Théâtre d’or de Boussac, du NPA 23, du collectif Creuse Citron, de l’association Le Trou des Combrailles, de Sud Éducation Limousin organisera jusqu’à nouvel ordre un RASSEMBLEMENT CHAQUE SAMEDI à GUÉRET – 11h – DEVANT LA MAIRIE
Rejoignez-nous.
Quelque soit le domaine d’action de votre association, syndicat, parti politique, collectif, même informel, avec ou sans étiquettes, nous sommes toutes et tous concerné(e)s ! La liberté est l’affaire de chacun et chacune !
Amenez vos textes, vos chansons, vos instruments, vos idées… nous sommes là pour partager et échanger.
Ce
samedi 23 janvier, comme depuis plusieurs semaines, on se mobilise en
Creuse contre le projet de loi « Sécurité Globale » et le virage de plus
en plus liberticide que prend le gouvernement.
Pour défendre nos libertés collectives et individuelles fortement mises à mal ces derniers mois :
RENDEZ-VOUS CE SAMEDI ET TOUS LES SAMEDIS A GUERET – 11H – DEVANT LA MAIRIE !
Amenez vos banderoles, vos affiches, vos panneaux, vos instruments, vos voix, vos poèmes, vos textes, vos œuvres…
Amenez vos idées pour les suites de la mobilisation.
Les manifestations et rassemblements à caractère revendicatif déclarés en préfecture NE SONT PAS INTERDITS PAR L’ÉTAT D’URGENCE SANITAIRE – NOUS POUVONS MANIFESTER ! –
Plusieurs centaines de personnes ont manifesté à Limoges ce samedi 16 janvier contre la loi Sécurité globale et son monde, cela malgré la très regrettable défection de dernière minute de certaines composantes du collectif Stop Sécurité globale. Beaucoup de personnes étaient descendues de différentes parties du Limousin avec banderoles et musique dont un train-Caddie de percussions bricolé avec ingéniosité.
Après quelques prises de parole le cortège s’est dirigé vers la place Denis-Dussoubs au son des tambours, saxophones, tuba, trompette, violon, et sous le regard d’un immense œil haut perché, symbolisant la surveillance généralisée qui se met en place. De nombreuses banderoles et pancartes rivalisaient d’invention dans les slogans : « Ton couvre-feu ne brisera pas nos ailes », « Arrêtez de tout interdire, on n’arrive pas à tout désobéir », « 2021 de bonnes révolutions », « Le ciel bleu pâle, nos rues bleu flic », « Sécurité globale, enfermement optimal », ou simplement « Pas content ». Un petit tour de la place Denis-Dussoubs et le cortège continue jusqu’à la place d’Aine où là aussi un tour complet est effectué pour ensuite se diriger vers la place de la Motte. Beaucoup d’énergie, de joie, quelques pétards et fumigènes, des masques festifs couvrent certains visages. Quelques panneaux publicitaires se confinent le long du parcours. On traverse le centre, le cortège a grossi depuis le départ, et on descend depuis la rue Haute-Vienne vers la mairie. Une partie des manifestants se stationnent sur l’esplanade de la mairie pendant que d’autres occupent le carrefour. Prises de parole, saynètes de théâtre, d’un côté, chants de lutte, percussions de l’autre, toutes les formes d’expression se côtoient dans la bonne humeur et le plaisir d’être là ensemble malgré l’ambiance mortifère qu’on nous assène quotidiennement. Et si les lieux culturels nous sont interdits la culture se fera dans la rue. Une excellente soupe bien chaude et de succulentes pâtisseries concoctées par la cantine du squat de sans-papiers de la rue de la Révolution, des jus de fruit, du café réchauffent les estomacs et les cœurs. Après une dernière mini-rave party amusante et jubilatoire la place se vide et les discussions continuent devant la mairie pour envisager la poursuite de la lutte. Cette journée aura prouvé qu’on peut se coordonner à travers tout le Limousin. Un bon espoir pour la suite des mobilisations. Et la suite c’est notamment samedi 30 janvier à Limoges. Alors dès à présent faisons tourner l’info pour être plus nombreux la prochaine fois.
Merci à La Bogue – site coopératif d’infos et de luttes en Limousin pour cet article et ces photos.
SECURITE
GLOBALE = SURVEILLANCE GENERALE = LIBERTE MINIMALE
Le projet de loi « sécurité globale » s’il est adopté permettra et généralisera la surveillance et le fichage en masse de la population. La promesse de réécrire l’article 24 interdisant et sanctionnant la captation et la diffusion d’images des forces de l’ordre ne suffit pas !
Utilisation
généralisée et banalisée de drones, élargissement de l’accès
aux images de vidéo-surveillance, retransmission « en temps
réel » au poste de commandement des images captées par les
caméras piétons des force de l’ordre en intervention, possibilité
pour les forces de l’ordre de garder et porter leur arme de service
dans les lieux recevant du public, élargissement des champs d’action
de la police municipale… sont autant de raisons de nous inquiéter
du
virage liberticide que prend l’état français.
De
plus, la semaine dernière, en marge des « travaux » sur
la loi sécurité globale, 3 décrets ont élargi les possibilités
de
fichage de la population
en élargissant les 3 fichiers de « sécurité publique »
déjà existants (PASP,
GIPASP, ESAP). Ces
fichiers peuvent maintenant concerner des personnes physiques ou
morales, ou des «groupements » (associations, zad, groupes
facebook, manifestations…), présentant un danger pour la « sûreté
de l’État », en
particulier pour « les
intérêts fondamentaux de la Nation ».
Ces nouvelles dispositions permettent le fichage massif de militantes et militants politiques, de leur entourage (dont leurs enfants mineurs), de leur état de santé, de leurs convictions philosophiques ou religieuses et de leurs opinions politiques (et non plus seulement de leurs « activités » politiques ou religieuses) ou encore de leurs activités sur les réseaux sociaux.
Retrouvons-nous
samedi 12 décembre devant la préfecture de Guéret à 11h :
contre la loi sécurité globale, pour la liberté.
Tous
amenons nos banderoles, nos drapeaux, nos slogans, nos
revendications…
Artistes,
amenons nos instruments, nos voix, nos textes…
Ensemble
faisons résonner la liberté.
Les
rassemblements à caractère revendicatif déclarés en préfecture
ne sont pas interdits par l’état d’urgence :
Associations et collectifs prenons position publiquement contre ces lois qui menacent nos libertés individuelles et collectives et déposons des déclarations de manifestation à la préfecture pour permettre à tous ceux et toutes celles qui le souhaitent d’exprimer publiquement leur désaccord avec la politique du gouvernement, ce samedi et les suivants. La liberté est l’affaire de tous et de toutes.
Nous invitons tous ceux et toutes celles qui le souhaitent à reprendre et signer cet appel.