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Dimanche 21 Mai 2017 – Marché de producteurs et d’artisanat d’art
Ce dimanche à St-Dizier-les-Domaines grande fête de village. Marché, manèges, animation, buvette, restauration. Organisé par l’association régionale REAGIR pour notre environnent créée contre le projet d’enfouissement de déchets inertes de St-Dizier-les-Domaines. Plus d’infos : https://www.facebook.com/pg/sauvernotrevillage
Samedi 20 Mai 2017 – Réunion Publique d’Information sur le Permis Exclusif de Recherches « Combrailles en Marche »
– RÉUNION PUBLIQUE D’INFORMATION –
Sur le Permis Exclusif de Recherches « Combrailles en Marche »
(Géothermie Haute Température – Forages profonds )
SAMEDI 20 MAI à 10H00
par la société TLS Géothermics
( salle des fêtes de CHAMBON-SUR-VOUEIZE, 23170 )
à lire aussi :
- Géothermie : une étude pour sonder le sous-sol des Combrailles, la montagne 04-2017
Pollution minière : les habitants vivant à proximité de milliers de sites s’inquiètent face à un possible scandale sanitaire
En France, des milliers d’anciens sites miniers pollués aux métaux lourds inquiètent les habitants alentour, parfois atteints de graves maladies. Quelles responsabilités ? Quelles solutions ?
À lire aussi sur Franceintvinfo ➡
(Isabelle Souquet – franceinfo – Radio France, le 06-05-2017)
Avis sur la demande de Permis Exclusif de Recherches de gîtes géothermiques à haute température dit « Permis Combrailles-en-Marche »
En préambule nous ne pouvons que regretter la manière choisie pour mettre en œuvre la participation du public au regard d’un tel projet. En effet cette consultation par voie électronique est quasiment confidentielle : aucune commune n’a été prévenue, aucun habitant du territoire concerné n’a pu bénéficier d’une quelconque information sur le projet, aucun affichage n’a été mis en place …
Cette confidentialité devient choquante quand on sait que le permis exclusif de recherches demandé par la société TLS géothermics concerne une zone d’une surface de 805 km² et un nombre élevé de communes : 63 communes sont concernées partiellement ou en totalité par cette demande de PER.
31 communes dans la Creuse : Auge, Bord-saint-Georges, Boussac, Boussac Bourg, Budelière, Chambonchard, Chambon -ur-Voueize, Charron, Evaux-les-Bains, Fontanieres, Gouzon, La-celle -sous-Gouzon, Lavaufranche, Lepaud, Leyrat, Lussat, Nouhant, Reterre, Rougnat, Saint-Julien-la -Genete, Saint Loup, Saint Pierre Le Bost, Saint sylvain Bas le Roc, Saint Sylvain-sous-Toulx, Sannat, Soumans ,Tardes, Toulx-Sainte-Croix, Trois Fonds, Verneiges, Viersat.
26 communes dans l’Allier : Archignat, Arpheuilles-Saint-Priest, Chamberat, Durdat-Larequille, Huriel, La Celle, La Chapelaude, La Petite Marche, Lamaids, Lavault-Sainte-Anne, Lignerolles, Marcillat-En-Combraille, Mazirat, Neris-Les-Bains, Premilhat, Quinssaines, Ronnet, Sainte-Therence, Saint-Fargeol, Saint-Genest, Saint-Marcel-En-Marcillat, Saint-Martinien, Saint-Sauvier, Terjat, Treignat, Villebret.
6 communes dans le Puy-de-Dôme : Ars-les-Favets, Bussières, Château-sur-Cher, Pionsat, Saint- Hilaire, Saint-Maurice-Près-Pionsat.
Aucune de ces 63 communes n’a été informée de la mise en place de cette consultation par voie électronique, sur le site internet du ministère de l’environnement.
Comment les habitants du territoire pourraient répondre à une telle consultation, étudier un tel projet, en mesurer les risques et les enjeux, sans avoir été informés en amont !
Mercredi 29 Mars – Réunion d’Information – Collectif des habitants d’Anzême
Déchets radioactifs – AREVA, à court d’arguments pour polluer
(La Montagne le 22/03/2017)
Mardi, peu après la mi-journée, malgré la présence de riverains et de militants écologistes, la société Areva a acheminé un premier camion de stériles miniers sur le site de l’ancienne mine d’uranium d’Anzême, en Creuse. Lire la suite …
France bleu Creuse le 20/03/2017
Des habitants d’Anzême ont bloqué un camion qui s’apprêtait à déverser sa cargaison au lieu-dit Le Vignaud ce lundi matin. L’État a autorisé Areva à stocker des « déchets miniers » dans cette ancienne mine d’uranium malgré l’opposition des habitants, des élus et des associations. Lire la suite
« J’attends que l’État respecte sa parole. Et tant que cette réunion n’aura pas eu lieu, les travaux ne débuteront pas ». Alain Favière est déterminé. Lire la suite ..
AREVA et la Préfecture veulent imposer le stockage de déchets radioactifs à Anzème
Soyons prêts à réagir !
la Creuse n’est pas minable ! La Creuse n’est pas la poubelle d’ Areva !
AREVA et la Préfecture veulent imposer leur stockage de déchets radioactifs à Anzème. Les premiers camions transportant les déchets sont annoncés cette semaine par la Préfecture de la Creuse qui refuse le dialogue avec les différents acteurs de ce dossier.
Le stockage de 10 000 m3 de déchets sur le site inadapté de l’ancienne mine d’uranium du Vignaud se fera-t-il par la force ? :
- contre l’avis des associations de protection de l’environnement ?
- contre l’avis des habitants d’Anzeme et du Vignaud ?
- contre la délibération de la commune d’Anzème et celle de l’agglomération de Guéret ?
- Plan de situation
- Carte IGN
Appel du collectif Stop Carrière 03, pour un moratoire immédiat sur la réouverture d’une carrière à Archignat
La décision prise par le préfet de l’Allier, le 22 novembre 2016, d’autoriser l’exploitation d’une carrière géante, à Archignat, sur 78 hectares de terres agricoles, a été principalement motivée par le besoin d’alimenter en granulats le chantier du grand Paris. Ce chantier, qui rejoint la liste déjà longue des grands projets inutiles, absurdes et couteux, conduirait entre autres à sacrifier les meilleures terres agricoles d’Ile de France pour implanter de gigantesques centres commerciaux et de l’immobilier haut de gamme.
Signez la pétition, Préfecture de l’Allier : Moratoire sur la réouverture de la carrière d’Archignat – secure.avaaz.org
Géothermie Haute température : Le sous sol de la Creuse suscite bien des interêts
Par Valérie Mosnier, France Bleu Creuse lundi 13 mars 2017
Après le PER de Villeranges à Lussat, faudra t-il parler du PER Combrailles en Marche ? Une société toulousaine a déposé une demande de Permis Exclusif de Recherches auprès du Ministère de l’Environnement pour un projet de géothermie profonde qui concerne 36 communes de l’Est de la Creuse.
Il y a l’or du côté de Lussat, pour lequel la société Cominor a fait une demande de renouvellement du PER de Villeranges, en juillet dernier, et toujours en cours d’examen. TLS Géothermics, basé à Toulouse, s’intéresse à la chaleur qui se trouve à plusieurs centaines de mètres sous terre, également sur la partie Est de la Creuse : « Globalement, on a déterminé le Massif Central comme étant le plus gros potentiel en France » explique le président de la start-up Mathieu Auxiètre.
Pas de fracturation hydraulique
TLS Géothermics, créée en 2012, a déposé une demande pour un Permis Exclusif de Recherches auprès du Ministère de l’Environnement (août 2015). Le « PER Combrailles en Marche » concerne une vaste zone à cheval sur le Puy de Dôme, l’Allier et la Creuse, où 36 communes sur 458 km² sont concernées sur une vaste bande allant de Lavaufranche à Mainsat en passant par Parsac-Rimondeix et Lussat. On parle ici de géothermie profonde, avec des forages allant de 3.000 à 5.000 mètres de profondeur pour extraire la chaleur de la roche, de l’eau très chaude entre 150 et 200 degrés, et ensuite transformer les calories en énergie. L’eau refroidie est ensuite réinjectée dans le sous-sol.
C’est très différent de la géothermie qu’on peut avoir sous sa pelouse – Jehan Duvieusart
« Pas question d’utiliser la fracturation hydraulique » insiste Mathieu Auxiètre, « car ici les roches sont déjà fracturées naturellement, les failles sont très anciennes et il y a déjà des fractures natuelles avec de l’eau ». C’est pourtant ce que craignent les membres du collectif Stop Mines 23, créé après l’arrivée de Cominor. Jehan Duvieusart, maraîcher bio à Chambonchard, fait partie du Collectif Stop Mines 23 et pour lui, il faut se méfier de ce projet de géothermie profonde : « il faut bien faire la distinction entre ce type de géothermie, qui recherche des roches chaudes, on parle dans notre région de 3.000 mètres de profondeur, donc c’est très différent de la géothermie qu’on peut avoir sous sa pelouse. » Et même si la fracturation hydraulique n’est pas utilisée, ça n’empêche pas Jehan Duvieusart d’être inquiet : « même avec des forêts super aiguisés, il faudra du fluide, il faudra lubrifier tout ça, c’est des produits chimiques. »
La demande du « PER Combrailles en Marche » est toujours à l’étude. Mais sans attendre le feu vert de l’Etat, la société s’est déjà rendue sur le terrain pour des premières mesures, des premiers relevés dans des champs d’agriculteurs creusois, « effectivement l’Etat pourrait nous refuser le permis, mais nous à priori on pense qu’il n’y a pas de raison parce que la géothermie est soutenue par l’Etat », résume Mathieu Auxiètre.
5 mégawatts et potentiellement de l’énergie toute l’année
L’objectif final du président de TLS Géothermics est d’installer une centrale électrique qui produirait « 5 mégawatts, ça permet d’alimenter entre 5 et 10.000 personnes, c’est une centrale qui peut potentiellement fournir de l’énergie toute l’année en continue et en terme d’emprise au sol c’est moins d’un hectare. Les puits en surface sont séparés que quelques mètres et ça peut être intégré au paysage de manière tout à fait correcte. »
De son côté, Jehan Duvieusart soulève une autre question : « sur notre territoire relativement rural, d’un peu plus de 120.000 habitants, avec les projets éoliens, les barrages hydrauliques, le photovoltaïque qui se développe comme la bio-méthanisation… Est-ce qu’on a besoin de la géothermie profonde en plus pour assurer nos besoins énergétiques ? Ou est-ce qu’on fait le choix que notre région devienne une zone de production massive d’énergie ? »
La prochaine étape c’est la consultation publique sur internet qui ne devrait plus tarder. Ce sera l’occasion pour chacun d’avoir accès à des documents ET de donner son avis.
Mardi 28 Mars 2017 – Projection Débat – « In Defence of Life »
Qu’il s’agisse de charbon, d’or, d’antimoine ou encore d’uranium, l’exploitation minière du sous-sol de nos contrées nous semblait pour toujours appartenir au passé; seules, de temps à autre, les problématiques toujours sévères de l’après-mine remontaient du fond vers la lumière de l’actualité.
Bien que, durant ces dernières décennies, nous ayons été épargnés par l’industrie minière considérée comme la troisième industrie la plus polluante au monde par le Blacksmith Institute dans son rapport de 2012 (http://www.blacksmithinstitute.org/press-release-2012-world-s-worst-pollution-problems-report.html), d’autres ont bien dû payer par leurs souffrances pour nous assurer un approvisionnement en ces matières qui nous paraissent tellement vitales. C’est pour rappeler ce fait passé sous silence que Stopmines 23 projettera au Palace le 28 mars à 20h30 le documentaire « In Defence of Life » qui nous conduira en un tour du monde à la rencontre de quatre communautés en lutte face à l’industrie minière. L’occasion de mesurer l’importance des conséquences de ces mines qui nous sont aujourd’hui devenues lointaines mais qui, sans hésiter et sans relâche, font leurs trous partout ailleurs jusqu’au sacrifice, sur l’autel du profit, des biens communs vitaux que sont la terre, l’eau et l’air.
Continuer la lecture de Mardi 28 Mars 2017 – Projection Débat – « In Defence of Life »
24 Mars 2017- avant première du film « Mine de Rien »
Le vendredi 24 mars à partir de 20H, le cinéma le Rio (Clermont Nord) accueillera l’équipe de Mediacoop ainsi que des professionnels et collectifs engagés contre la réouverture des mines.
Tous viendront accompagner la sortie au cinéma le Rio de la dernière enquête d’investigation (de plus de 2 ans!) réalisée par Mediacoop.
Plus d’informations sur le site du Cinéma le Rio : http://www.cinemalerio.com/
et sur le site de Mediacoop : www.mediacoop.Fr
Déchets radioactifs à Anzème : la réunion « annulée »
à lire aussi : Stériles miniers, l’État annule la réunion (lamontagne.fr)
6 Mars 2017 – Nouvelle réunion sur le projet de stockage de déchets miniers radioactifs à Anzème
Sans attendre la fin des recours administratifs des associations de protection de l’environnement ! Et contre l’avis de la commune, la Préfecture de la Creuse a l’intention de charger Areva de stocker au plus vite des déchets d’extraction d’uranium sur un site inadapté, au lieu dit Le Vignaud, commune d’Anzème :
Réunion d’Information
(Intervenant : sous-préfet de l’arrondissement de Guéret)
Lundi 6 mars 2017 à 18h30
Salle polyvalente d’Anzême
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Le 17 Janvier 2017, l’association Sources et Rivières du Limousin a déposé un recours contre l’arrêté préfectoral autorisant les travaux, auprès du Tribunal Administratif de Limoges. Ce dernier ne s’est pas encore prononcé sur le sujet.
A Lire aussi :
Dossier : renouvellement du PER de Villeranges
Les pièces du dossier sont disponibles ici :
- Demande renouvellement PER Villeranges – Août 2016
- Carte renouvellement 2016
- Annexe 3 – mémoire justificatif des limites du permis
- Annexe 4 – programme général des travaux
- Annexe 5 – Justificatifs des capacités techniques de l’entreprise
- Annexe 7 – notice d’impact sur l’environnement
- Annexe 8 – Pouvoir Dominique Delorme
- La Mancha Group – structure
Contre les projets d’exploitation de mines dans la région
17 Mars 2017 – Soirée de soutien aux luttes pour la terre
16 Mars 2017 – Actualité des projets nuisibles en Creuse
09/10 Mars 2017 – Théatre documentaire : Tchernobyl – si loin si proche
Conférence de presse du Collectif « OR DE QUESTION »
La conférence de presse du Collectif « Or de Question » regroupant 21 Organisations Non Gouvernementales (ONG) sous un même objectif, à savoir « CONTRE L’IMPLANTATION DE LA MÉGA-INDUSTRIE MINIÈRE INTERNATIONALE EN GUYANE» a eu lieu le 21 février 2017, à Cayenne (Guyane Française).
Nous avons réussi à regrouper un large panel de la riche diversité citoyenne guyanaise qui a dénoncé la volonté de l’État d’imposer l’implantation de multinationales aurifères (en l’occurrence le consortium russo-canadien Sotrapmag-Colombus-Nordgold) au mépris des intérêts des peuples guyanais.
Contact : mel : ordequestion@gmail.com
et sur Facebook « Or de Question »
Mines d’or en Creuse : population et élus disent non
L’or de la Creuse continue de faire polémique. Quatre communes, situées dans le périmètre de recherche du minerai, ont jusqu’au 10 février 2017 pour faire connaitre leur avis sur un nouveau permis demandé par la société Cominor. Mais déjà, des élus expriment leur opposition.
Or d’ici : Lussat, Lépaud, Auge et Chambon-sur-Voueize vont rendre leur avis sur le renouvellement du permis de la Cominor
C’est un moment clef du permis minier qui se joue en ce moment même : le renouvellement demandé par Cominor-La Mancha.
Au creux de l’hiver, alors que la Creuse est engourdie …
Alors que l’organe de presse du groupe LVMH, vient de servir la soupe des lobbies miniers, en annonçant dans son article de « lesechos.fr », l’abandon du permis minier …
Le ministère de l’économie a demandé au préfet de la Creuse de lancer l’instruction du renouvellement du PER de Villeranges !
La préfecture de la Creuse attend les avis des maires des communes visées par le nouveau permis minier qui concerne désormais : Lussat, Lepaud, Auge et Chambon sur Voueize, soit une surface de 34 Km² ( 3 400 hectares ). Elles ont jusqu’au 10 février pour s’exprimer sur le sujet.
Le périmètre du nouveau permis minier, toujours aussi près de l’Étang de Landes !
Cominor-La Mancha a déposé, le 17 juillet 2016, sa demande de renouvellement de son permis de recherches de mines d’or et d’arsenic, pour 3 ans, auprès du ministère de l’économie.
La société minière déclare vouloir réaliser les forages à grande profondeur, (jusqu’à 450 mètres) qu’elle a été dans l’impossibilité de faire, à cause, selon elle :
– de la « désinformation » distillée par les collectifs opposés au projet (?!) ;
– de la sécheresse ;
– des conventions que les propriétaires des terrains concernés ont refusé de signer ;
– de la restructuration de la société, et pour cause, elle multiplie les fusions et les projets de mines d’or en Afrique de l’ouest : Mali, Cote d’ivoire, Burkina Faso … et en Australie.
De plus, la Cominor déclare avoir estimé, le seul gisement des Farges, à 18,92 tonnes d’or … ce qui représente au cours actuel de l’or, environ 700 millions d’euros. Et tout cela, grâce à un traitement informatique des données initialement recueillies par Total Compagnie Minière après 9 ans de recherche effective dans les années 1980 ! Attention, cette nouvelle estimation est invérifiable puisque la Cominor n’a transmis qu’un tableau de ses résultats et ne donne pas plus de détails sur sa méthode de calcul. N’oublions pas que c’est une opération banale dans le secteur des mines de « surévaluer » les gisements afin de « charmer » les éventuels investisseurs et les pouvoirs publics.
N.B. : Les parrains du projet Creusois, Dominique Delorme et Sébastien de Montessus sont tous deux impliqués dans l’affaire Uramin, des gisements d’uranium « surévalués », 2 milliards de perte sèche pour Areva, évaporés en rétrocommissions, vers des comptes offshores …
Enfin, l’instruction du dossier est lancée alors que la réforme du code minier est en cours, le rapporteur de la loi devant la commission du développement durable annonçait sans scrupules le 17 janvier 2017 : « il s’agit de purger en une seule fois tous les risques de recours et de réduire les délais d’instruction et de mise en œuvre des titres miniers. L’objectif est clair, il n’y en a pas d’autre … sécuriser les compagnies minières. »
Pour obtenir plus de détails sur les informations de renouvellement que nous avons pu recueillir, n’hésitez pas à nous contacter : contact@stopmines23.fr
28 janvier 2017 – A.G. Stopmines23
Assemblée Générale de l’association StopMines23
Samedi 28 janvier à 17h00
à Chambon-sur-Voueize – salle des associations (voir plan d’accès)
Un petit questionnaire sera disponible afin de recueillir vos attentes et votre opinion sur les projets portés par l’association.
Un apéritif partagé clôturera la séance à 19h00, et nous permettra ensuite d’échanger nos réflexions sur les sujets du moment.
L’Assemblée Générale est un moment important dans la vie de notre association, c’est la possibilité de se rencontrer et de discuter plus longuement.
Un permis minier pour l’or de 261 Km², accordé en Limousin !
L’État a accordé le Permis Exclusif de Recherches de Bonneval, 261 Km², sur huit communes : Coussac-Bonneval, Château-Chervix, La Meyze, La Roche-l’Abeille, Ladignac-le-Long, Le Chalard, Meuzac, Saint-Priest-Ligoure, Saint-Yrieix-la-Perche dans le département de la Haute-Vienne, et Jumilhac-le-Grand, dans le département de la Dordogne.
Localisation du Permis de Bonneval :
Un cadeau de noël du gouvernement pour la compagnie australienne Montezuma mining et sa filiale française Cordier mines, ainsi que pour le directeur général de Variscan Mines, Michel Bonnemaison !
Continuer la lecture de Un permis minier pour l’or de 261 Km², accordé en Limousin !
«La sale mine du futur code minier» : Campagne citoyenne pour un code minier responsable et citoyen
Les 17 et 18 janvier 2017, la Commission du développement durable de l’Assemblée Nationale examinera la proposition de loi portant adaptation du code minier au droit de l’environnement. Celle-ci sera ensuite discutée, en séance publique, en première lecture, à l’Assemblée Nationale et soumise au vote des député(e)s après débat. Ce texte, ouvertement rédigé par le lobby minier, vise à faire disparaître de ce code juridique, les maigres garde-fous qui pouvaient encore protéger les citoyens et leur environnement des appétits destructeurs de cette industrie extractive.
Nous vous proposons, afin de faire pression sur vos députée(e)s de les interpeller au moyen de cartes-pétitions pour leur demander d’amender le texte.
Les cartes à télécharger :
- Nouveau code minier : voici la creuse que vous nous préparez !
- Nouveau code minier : Aucune concertation préalable ! Aucune consultation obligatoire des populations !
- Nouveau code minier : Extractivisme ou recyclage ?!
Signez et faites signer les cartes-pétitions, puis envoyez-les à votre député(e) avant le 10 janvier 2017.